Tiens, tiens, bij ons begint Test-Achats ook al van zijn tak te maken. Ik neem het hele stuk maar over, want morgen is het van de webstek van Le Soir verdwenen.
Téléphonie / Les nouvelles armes des opérateurs: les MVNO et le <<cobranding>>
OPERATEURS ET TARIFS SE MULTIPLIENT
Le client lambda risque d'y perdre son latin. Une flopée d'offres simplifiées viennent compliquer la comparaison.
En 2004, Test-Achats passe au scanner les habitudes des consommateurs. En moyenne, le Belge dépense entre 25 et 40 euros par mois en téléphonie mobile, principalement en communications et messages écrits. Il n'est pas forcément à la pointe de la technologie, et encore moins girouette : déjà qu'il ne change pas facilement de tarif en restant chez le même opérateur, le saut d'un opérateur à un autre n'est pas une décision qu'il prend à la légère, loin de là. « Un marché mature, limite saturé », résume Patti Verdoodt, porte-parole de Mobistar.
Des stratégies nouvelles sont nécessaires pour appâter le chaland. C'est Base, le petit dernier arrivé dans la cour des opérateurs traditionnels, qui ouvre le bal en 2003. « Base était confronté à un problème, explique son porte-parole, Bart Vandesompele. Nos parts de marché étaient trop petites. Diverses formules ont été envisagées. Parmi elles, le développement des opérateurs virtuels, les MVNO. » Base se lance à l'eau, avec Transatel.
Trois ans et une petite révolution plus tard, la téléphonie mobile a changé. De nouveaux opérateurs ont fait leur apparition et les formules tarifaires se multiplient. MVNO, « cobranding » et sous-marques se livrent une concurrence acharnée. Bien souvent, ces offres privilégient une cible précise (les jeunes, pour TMF ou encore certaines nationalités, pour les MVNO « ethniques », voir Le Soir du 18 novembre). Un tel foisonnement de possibilités fait qu'il devient assez difficile de choisir. D'autant plus que la téléphonie mobile possède un caractère assez émotionnel : des critères subjectifs peuvent s'avérer déterminants.
Paradoxal, puisque nombre de nouvelles offres privilégient une structure de coûts simplifiée. Principale cible : les « petits » profils. Ceux qui ne consacrent qu'un petit budget mensuel à leurs GSM. Pas des accros du clavier donc, ni des businessmen.
Au moment du choix de l'opérateur et de la formule, quelques grandes questions s'imposent.
En premier lieu, un classique, puisque la téléphonie est depuis longtemps divisée entre les « pré » et les « post ». Ses minutes et SMS, les payer avant ou après ? Carte rechargeable ou abonnement ? « Les cartes prépayées permettent un contrôle à 100 % sur son budget », remarque Patti Verdoodt. Avec le risque de se retrouver sans crédit, le sifflet coupé, pour avoir abusé du téléphone ou oublié de recharger dans les délais exigés. À l'opposé, l'abonnement fonctionne avec un système de factures mensuelles. La formule a évolué, puisque certains ne coûtent plus un centime si aucun appel n'est passé. D'autres ont adopté une forme plus hybride : le « bundle ». L'abonnement comprend alors un forfait : un nombre de minutes disponibles chaque mois, à un prix constant. Toute minute consommée hors forfait se payant souvent à un tarif plus avantageux. Plus souple l'abonnement, donc. Mais aussi plus dangereux, surtout pour les bavards : la note peut être douloureuse. En Belgique, plus de 5,5 millions de personnes payent en avance, contre plus de 3 millions qui ouvrent le portefeuille fin du mois.
Autre question primordiale, le profil précis et les attentes du futur consommateur. Très important, vu le caractère pointu de certaines offres. L'adolescent, roi du SMS et surfeur invétéré, n'est pas la personne âgée qui ne se servira de cette machine qu'en cas d'urgence, et avec circonspection encore.
TMF lorgne clairement les jeunes : publicités lourdingues, langage familier, cartes rechargeables sur internet et gros effort de prix sur les SMS (0,08 euro), moins sur les appels (0,30 euro la minute). Facile d'envoyer un message à l'insu d'un professeur. Téléphoner est une autre paire de manches. Proximus, Mobistar et Base ont tous développé une sous-marque. Respectivement Ugly Duck, Simply by Mobistar et Simyo. Coûts sacrifiés et offre simplifiée au possible : cartes prépayées, appels et SMS sont les seules opérations possibles, internet comme seul service clientèle. Tous ne s'y retrouveront pas.
Autant de formules à exclure si la majorité des appels sont destinés à l'étranger. Abonnements professionnels, MVNO « ethniques » ou spécialisés dans la longue distance prennent le relais.
C'est Base qui totalise le plus grand nombre de MVNO (TMF, Scarlet, Phone House, etc.), à hauteur de 8 % de sa clientèle. « Pas vraiment une perte, estime Bart Vandesompele. Ces appels passent par notre réseau, et pas par la concurrence. » Le dernier en date, 1 Mobile, lancé par Carrefour cette année. Mobistar ne compte qu'un seul MVNO, celui de Telenet, lui aussi mis sur les rails en 2006. De même que son « cobranding » avec Delhaize, baptisé Mobile Plus en septembre. Seul Proximus a, pour l'instant, résisté aux sirènes des MVNO. Pas à celles du cobranding, puisque le mois d'octobre 2006 a vu l'opérateur convoler en justes noces avec Plug TV. Le bébé se nomme Plug Mobile.
Pour les tarifs, les offres se tiennent souvent de près. Le SMS national coûte 0,08 à 0,15 euro, tandis que la minute nationale vers un GSM est facturée 0,19 à 0,30 euro. La différence réside aussi dans les conditions et variations de tarifs et perpétuelles promotions. Incomparables.
Uitgegeven: 24 november 2006 10:58
DEN HAAG - Het is voor consumenten steeds lastiger een juiste keuze te maken bij de aanschaf van een abonnement voor een mobiele telefoon. Dat heeft een onderzoek van de Consumentenbond uitgewezen. De bond spreekt van een 'woud aan bundels, tarieven en acties'.
De markt is er ten opzichte van voorgaande studies ondoorzichtiger op geworden, aldus de Consumentenbond vrijdag. Volgens de consumentenorganisatie is het voor mensen moeilijk om het goedkoopste abonnement te kiezen.
"Dat lukt alleen mensen die precies weten hoe laat en hoe lang ze bellen, hoe vaak ze naar vaste of mobiele nummers bellen en hoeveel sms-jes ze versturen."
Besparen
Volgens de bond zijn veel mensen zich daar vaak niet van bewust, terwijl een juiste keuze veel geld kan besparen.
De Consumentenbond heeft verbeteringen gevraagd bij de brancheorganisatie van telefoonbedrijven en de minister van Economische Zaken.
Bron: nu.nl
Ja, eens.
Deze site zal wel weer genoemd worden in het eventuele desbetreffende artikel.
Slechte titel btw...
Precies, een site als TV maakt de keus een stuk makkelijker. Je kunt hier prima vergelijken en aan de hand van de uitkomst je keuze bepalen. Daar heb je de Consumentenbond niet voor nodig.
De consumentenbond heb je wel nodig omdat op Telecomvergelijker maar een klein deel van de Telecomaanbiedingen te vinden zijn.
Er moet verduidelijking komen in de prijsweergaves. Vandaar dat er regels moeten komen.
Waarom de consumentenbond nou de mobiele telefoniemarkt aangrijpt om zowel strijdlustig, heldhaftig als ook wereldverbeterend met een enorm mediaoffensief helderheid te eisen voor conumenten...? Is mij echt een raadsel.
Voor deze dingen kan je tenminste in de meeste "dorpen" naar een stel telecomboeren en je voor laten lichten. Foldertjes en overzichten te over... Moet je toch wel uit kunnen komen.
Heel anders is dat volgens mij met gas, water, licht, verzekeringen, kranten, tandpasta, etc.
Wat mij betreft hadden ze beter ergens anders kunnen beginnen, maar meer duidelijkheid is nooit weg.
Ik begrijp de stelling van de CB wel. Tegenwoordig betaal je na je bundel (VEEL) meer dan er binnen, kost een VM je 1 minuut ipv 6 seconde, en bel je misschien gratis on-net of naar vast maar dan alleen na 20:00 uur en/of in het weekend. En dan zwijg ik nog maar over data en dingen over de grens.
Een jaar of 2 geleden waren de abonnementen een stuk simpeler (zelfde tarief buiten de bundel, geen startminuut en bellen naar vast kost altijd geld).
Het lijkt een bewuste strategie van de providers om onvergelijkbare abo's te maken, want dan kan een andere provider nooit zeggen dat ze hoe dan ook goedkoper zijn.
Tiens, tiens, bij ons begint Test-Achats ook al van zijn tak te maken. Ik neem het hele stuk maar over, want morgen is het van de webstek van Le Soir verdwenen.
Téléphonie / Les nouvelles armes des opérateurs: les MVNO et le <<cobranding>>
OPERATEURS ET TARIFS SE MULTIPLIENT
Le client lambda risque d'y perdre son latin. Une flopée d'offres simplifiées viennent compliquer la comparaison.
En 2004, Test-Achats passe au scanner les habitudes des consommateurs. En moyenne, le Belge dépense entre 25 et 40 euros par mois en téléphonie mobile, principalement en communications et messages écrits. Il n'est pas forcément à la pointe de la technologie, et encore moins girouette : déjà qu'il ne change pas facilement de tarif en restant chez le même opérateur, le saut d'un opérateur à un autre n'est pas une décision qu'il prend à la légère, loin de là. « Un marché mature, limite saturé », résume Patti Verdoodt, porte-parole de Mobistar.
Des stratégies nouvelles sont nécessaires pour appâter le chaland. C'est Base, le petit dernier arrivé dans la cour des opérateurs traditionnels, qui ouvre le bal en 2003. « Base était confronté à un problème, explique son porte-parole, Bart Vandesompele. Nos parts de marché étaient trop petites. Diverses formules ont été envisagées. Parmi elles, le développement des opérateurs virtuels, les MVNO. » Base se lance à l'eau, avec Transatel.
Trois ans et une petite révolution plus tard, la téléphonie mobile a changé. De nouveaux opérateurs ont fait leur apparition et les formules tarifaires se multiplient. MVNO, « cobranding » et sous-marques se livrent une concurrence acharnée. Bien souvent, ces offres privilégient une cible précise (les jeunes, pour TMF ou encore certaines nationalités, pour les MVNO « ethniques », voir Le Soir du 18 novembre). Un tel foisonnement de possibilités fait qu'il devient assez difficile de choisir. D'autant plus que la téléphonie mobile possède un caractère assez émotionnel : des critères subjectifs peuvent s'avérer déterminants.
Paradoxal, puisque nombre de nouvelles offres privilégient une structure de coûts simplifiée. Principale cible : les « petits » profils. Ceux qui ne consacrent qu'un petit budget mensuel à leurs GSM. Pas des accros du clavier donc, ni des businessmen.
Au moment du choix de l'opérateur et de la formule, quelques grandes questions s'imposent.
En premier lieu, un classique, puisque la téléphonie est depuis longtemps divisée entre les « pré » et les « post ». Ses minutes et SMS, les payer avant ou après ? Carte rechargeable ou abonnement ? « Les cartes prépayées permettent un contrôle à 100 % sur son budget », remarque Patti Verdoodt. Avec le risque de se retrouver sans crédit, le sifflet coupé, pour avoir abusé du téléphone ou oublié de recharger dans les délais exigés. À l'opposé, l'abonnement fonctionne avec un système de factures mensuelles. La formule a évolué, puisque certains ne coûtent plus un centime si aucun appel n'est passé. D'autres ont adopté une forme plus hybride : le « bundle ». L'abonnement comprend alors un forfait : un nombre de minutes disponibles chaque mois, à un prix constant. Toute minute consommée hors forfait se payant souvent à un tarif plus avantageux. Plus souple l'abonnement, donc. Mais aussi plus dangereux, surtout pour les bavards : la note peut être douloureuse. En Belgique, plus de 5,5 millions de personnes payent en avance, contre plus de 3 millions qui ouvrent le portefeuille fin du mois.
Autre question primordiale, le profil précis et les attentes du futur consommateur. Très important, vu le caractère pointu de certaines offres. L'adolescent, roi du SMS et surfeur invétéré, n'est pas la personne âgée qui ne se servira de cette machine qu'en cas d'urgence, et avec circonspection encore.
TMF lorgne clairement les jeunes : publicités lourdingues, langage familier, cartes rechargeables sur internet et gros effort de prix sur les SMS (0,08 euro), moins sur les appels (0,30 euro la minute). Facile d'envoyer un message à l'insu d'un professeur. Téléphoner est une autre paire de manches. Proximus, Mobistar et Base ont tous développé une sous-marque. Respectivement Ugly Duck, Simply by Mobistar et Simyo. Coûts sacrifiés et offre simplifiée au possible : cartes prépayées, appels et SMS sont les seules opérations possibles, internet comme seul service clientèle. Tous ne s'y retrouveront pas.
Autant de formules à exclure si la majorité des appels sont destinés à l'étranger. Abonnements professionnels, MVNO « ethniques » ou spécialisés dans la longue distance prennent le relais.
C'est Base qui totalise le plus grand nombre de MVNO (TMF, Scarlet, Phone House, etc.), à hauteur de 8 % de sa clientèle. « Pas vraiment une perte, estime Bart Vandesompele. Ces appels passent par notre réseau, et pas par la concurrence. » Le dernier en date, 1 Mobile, lancé par Carrefour cette année. Mobistar ne compte qu'un seul MVNO, celui de Telenet, lui aussi mis sur les rails en 2006. De même que son « cobranding » avec Delhaize, baptisé Mobile Plus en septembre. Seul Proximus a, pour l'instant, résisté aux sirènes des MVNO. Pas à celles du cobranding, puisque le mois d'octobre 2006 a vu l'opérateur convoler en justes noces avec Plug TV. Le bébé se nomme Plug Mobile.
Pour les tarifs, les offres se tiennent souvent de près. Le SMS national coûte 0,08 à 0,15 euro, tandis que la minute nationale vers un GSM est facturée 0,19 à 0,30 euro. La différence réside aussi dans les conditions et variations de tarifs et perpétuelles promotions. Incomparables.